Podcast Twist : faire la fête sans alcool ni drogues, est-ce envisageable ?
Contexte : fête et alcool en Suisse
Le lien entre convivialité et alcool est fréquemment évoqué. Le débat s’interroge sur la place de l’alcool comme élément central d’une fête et sur les alternatives possibles.
Points de vue des intervenants
Daniel, président du giron d’Autigny 2025
Il estime que le public habitué à ce type d’événement n’est pas nécessairement prêt à une fête dépourvue d’alcool. Néanmoins, il indique que des aménagements ont été mis en place pour les participants qui ne boivent pas, notamment afin de faciliter la participation des conducteurs et des personnes qui ramènent des amis.
Rose, DJ et productrice
Elle travaille sur des formules sans alcool ni drogues, baptisées “Clean Parties”. La première édition a eu lieu à Paris en mai 2025.
Chiffres et organisation
Lors du giron d’Autigny cet été, Daniel précise que 25 000 litres de bières et d’autres boissons alcoolisées ont été vendus, tandis que 15 000 litres d’eau ont été distribués. Quatre points d’eau gratuits ont été mis à disposition.
Défis et perspectives
Deux projets de Rose avec son label Alwarda visant des “Clean Parties” ont été annulés ou reportés, illustrant les enjeux logistiques liés à l’organisation d’événements sans alcool.
Écouter le débat
Vous pouvez écouter l’intégralité de l’épisode Twist, “Comment faire la fête sans substances ?”, diffusé ce vendredi sur Le Point J.